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les rumeursϟ Il paraîtrait que l'énorme bruit de la nuit dernière venait de l'hôpital ; Une machine aurait explosé dû à un dysfonctionnement et on y compterait deux victimes, médecin et patient. Si même à l'hôpital nous sommes en danger...

ϟ Perrault et Watson sont très souvent vus l'un en compagnie de l'autre, se tenant la main et rigolant ensemble. La rumeur court en ville qu'ils seraient en couple, bien que les deux démentent.

ϟ Une source proche d'Odin aurait affirmé que celui-ci aurait fumé des cèpes dans le but d'être shooté. Quelqu'un ne voudrait pas lui apprendre comment faire une fricassée aux champignons plutôt que de laisser pourrir son stock ?

ϟ Alice aurait pour projet de lancer un Sex shop portant le nom de "Rabbit Hole" et dont la source d'inspiration pour les produits vendus et l'égérie serait, naturellement, le réceptionniste bien connu de l'hôtel Abysse. Peut-être est-ce cela qu'il transporte dans ses caisses à travers la ville ?

ϟ Rimbaud aurait engagé un détective pour prendre des photos de Verlaine et les ajouter à sa collection personnelle. Il paraîtrait en effet que celui-ci a aménagé un véritable autel où il brûle de l'encens, invoquant on ne sait quelle divinité oubliée afin de ramener son amant dans son lit.

ϟ Un collègue de travail aurait surpris Smok qui écoutait du Miley Cyrus lors de l'une de ses gardes au poste. Il a bien insisté sur le fait qu'il s'agissait de la période Hannah Montana. On soupçonne donc qu'il possède des goodies en vue d'un futur tuning de Betty, sa moto...

ϟ Des papiers sont parvenus entre les mains de certains membres de la ville, des papiers qui révélent que Charles Dickens est un ancien acteur porno.

ϟ Il paraitrait qu'avant avoir rencontré Sherlock Holmes, John Watson était proctolgue. Cela expliquerait sa profonde connaissance en anatomie anale...

ϟ Claude Debussy ferait du racollage pour ouvrir un Host Club à Pandore ! Le compositeur a vraiment l'air d'aimer les jeunes hommes en jupette.



 
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 lie in the bed and hope to fall asleep before you fall appart ▬ M.R ; end

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AuteurMessage
Thug Life
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Date d'inscription : 18/06/2015
MessageSujet: lie in the bed and hope to fall asleep before you fall appart ▬ M.R ; end   lie in the bed and hope to fall asleep before you fall appart ▬ M.R ; end EmptyJeu 18 Juin - 15:11




Maître Renard


Je me nomme Maître Renard mais on m'appelle plus généralement Nathanaël O'Neil. J'ai été créé en1668 et il semblerait que je fasse parti des Créations. Je suis la création de Jean De La Fontaine. Je suis apparu à Pandore il y a cinq mois et j'exerce désormais la profession de cuisinier au Café Parisien. Cela me permet de vivre aisément. Pour me représenter, j'ai choisi Spain de Axis Powers : Hetalia.


Caractère et physique • This is how I am
Ce sont des fils de lettres cousus sur ta peau encastrés dans ta moelle rongés par la rouille, suintant de peur et de sarcasme d'un Destin à la majestueuse majuscule qui te rit au nez c'est une injustice certaine cachée derrière un sourire carnassier ; renard né pour ruser. Ce sont des étiquettes collées sur ton dos, placardées avec haine et dégoût ; voleur, menteur, meurtrier, trompeur jamais rassasié - tu ne prends plus la peine de dénier ce que l'on t'a inculqué pendant près de quatre-cents années. Tu as appris à te voiler la face entre les lignes de la fable, appris à passer pour le méchant, appris à le devenir et à faire fuir à la vue de ton pelage roux et de tes prunelles vertes tranchantes, limpides et avec cette perfidie cachée derrière un petit éclat doré. Tu ricanes en dévoilant tes dents blanches acérées, exclamant une fausse joie avec cette lueur de danger dans tes déplacements quasi-langoureux et tu te moques d'eux ; du monde, leurs maux, leurs fables et leurs idéaux. On te craint ; on te fuit ; t'admire, te rejette et tu te fais discret, tu te fonds dans la masse, tu attends, patiemment le moment juste le moment bon le moment où tout tournera rond et d'un coup de griffe tu feras tout tomber pour qu'ils doivent mieux rafistoler. Ils ne savent rien. Qu'on ne leur dise rien, c'est mieux ainsi, tu seras le méchant pour l'éternité et tutti quanti. Tu seras celui que l'on détestera pour sa galanterie, sa ruse et son ingéniosité qui sont pourtant de base des qualités que l'on qualifie chez toi de fourberie ; Scapin que l'on t'a surnommé tant de fois depuis que tu es arrivé. Tu fais mine de rire, te ravir, tirer de la douleur des autres cet air adouci sur tes lèvres douces étirées en un malicieux sourire ;

conneries.

Tu es fatigué de passer pour le méchant tout en n'étant pas dans le camp des gentils ; trop rusé et accroc au danger, à la connerie et à l'illégalité pour être tout blanc, trop sucré et attaché à la chaleur pour être sombre ; tu en es devenu tiraillé, torturé et détourné ; tu erres, tu cours et tu tombes sur un sentier de pavés sans jamais savoir où aller, tu érafles tes genoux, fatigues tes pieds, fais saigner tes lèvres sous tes dents aiguisées, t'égosilles à crier, hurler, pleurer et prier une quelconque âme capable de t'entendre plus que de t'épargner ; brisé. Mais ça n'est pas grave ; tu vas continuer, de courir, de jouer, de briser et de ricaner parce que c'est ce que l'on attend de toi qui ne fait que donner plutôt que recevoir, te dévoue corps et âme à ce que tu n'as jamais été là où tu rêverais de tendresse et d'un peu d'intérêt, juste un quelqu'un qui chercherait à gratter la peau du renard fatigué pour découvrir le nouveau né qui s'y cache.

△▽ △▽ △▽


Ce n'est qu'un masque, qu'une parure et pourtant quelle douce mascarade qui s'attarde sur tes lèvres rosées qui se relèvent pour dévoiler ta dentition blanche qui semble faite pour s'enfoncer dans la nuque d'une quelconque proie afin d'apporter le coup final ; aiguisées, pourtant pas monstrueuses, elles n'en reste pas moins quasiment toujours accompagnées d'un rire que l'on croit franc ou d'un sourire qui se veut innocent avec un tu-ne-sais-quoi de charmeur malicieux qui te sied si bien, malice présente également dans tes iris d'un vert étonnamment limpide et clair contrastant avec ta peau légèrement matte, halée, une peau douce au toucher avec parfois quelques creux là où l'on a égarées des cicatrices discrètes et pourtant présentes ; les méchants se battent mais ne gagnent pas toujours ; les plus virulentes descendent le long de ta nuque, comme des marques de crocs pour une proie chassée prête à être abattue, miraculeusement cachées par tes cheveux bruns aux quelques reflets roux doux comme de la fourrure, des cheveux plaisants à ébouriffer, dans lesquels on rêve d'emmêler ses doigts pour ne plus les enlever ; des petites mèches qui rebiquent sous tes oreilles, tombent parfois sur tes yeux ou sur les verres des lunettes que tu portes quand tu dois travailler, lire & autres besognes du genre ; ta vue était faite pour la chasse, pas pour la lecture des journaux. Ton corps aussi a été travaillé pour la chasse ; tout en courbes, en muscles, sec et sans graisse inutile ; tu es resté aujourd'hui encore un sportif affirmé et la chasse resterait bien ton passe-temps favoris.


Histoire • Tout conte a un début et une fin
Voleur.
Voleur.
Foutu voleur.


C'est l'étiquette que l'on t'a collée sur le poil dès ta plus tendre enfance, on disait voir dans tes yeux des pièges noirs, un esprit vil et pis que les maux du monde entier ; ami des sorcières, on t'aurait volontiers mis sur le bûcher. Tout ça pour ce pauvre fromage volé, un jour, pour cette pauvre leçon donnée avec un sourire un peu trop arrogant, parce que c'est le rôle qu'on te demandait de jouer et tout était tombé ; premier éclat. Personne ne s'était demandé pourquoi, personne ne s'y intéressait réellement c'était un nouveau prétexte pour te chasser, revendre ta fourrure cuivrée et hurler à la Mort quand on te voyait ; t'apercevait ; t'évoquait, tu te serais crû Grand Méchant Loup si celui-ci n'avait pas été défini le poil gris. Ils ne savaient rien. Ne savent toujours pas, ne chercheront pas à savoir. Mais ça n'est pas grave, ça ne changerait pas. Ne leur dites rien. Ne leur dites pas qu'une fois demi-tour fait et Corbeau délaissé, tu t'étais hâté de retourner dans ton terrier pour entendre les glapissements de cinq autres boules rousses affamées dans cette famille désespérée dont tu étais le frère aîné - le seul parent qui ne fut pas chassé, et que tu devais trouver de quoi rassasier  toutes ces bouches criardes encore jeunes. Cinq sœurs avec qui, plus tard, tu serais facilement confondu, à qui il arriverait malheur par ta faute et pour qui tu donnerais pourtant ta propre vie, risquant cette dernière à chaque fois que tu apposes la patte dehors, en été, au printemps, en automne, en hiver, peu importe la saison ; tu ne pouvais que leur donner, sans jamais attendre de recevoir quoi que ça soit en échange. Mais ils ont grandit. Deuxième éclat. Ils ont grandit dans ce monde de bêtes qui n'a rien du Pays des Merveilles et tu as rêvé souvent de sauter par dessus les lignes d'encre pour les emmener ailleurs, en sécurité, dans une autre histoire où le Renard n'aurait plus rien à craindre, où il ne serait plus assassin ni rien juste personnage secondaire que l'on laisse vivre en paix, insouciant et libéré.

C'était ton rêve de Renard utopique.



C'était un rêve que tu savais voué à l'échec, et pourtant quand tu rejoignais la chaleur du nid familiale, que tu te faisais dorloté par ton sang, quand vous dormiez, paisiblement, tu avais foi en cet espoir maigre, cette lumière faible qui éclairait l'horizon d'hiver. Mais c'était qu'un rêve et on te l'a fait comprendre comme on apprend à un gosse que le Père Noël n'existe pas, même en Laponie, ça t'a fait le même effet et ça t'a fait pleuré tout autant, silencieusement.

A coups de feu.


Dans la fourrure des nourrissons, et tu regardais les chasseurs traîner la fourrure sur la neige qui se teintait de rouge. Et tu as pleuré, pleuré, pleuré, si fort, si fort

sur la neige
dans la forêt
dans le terrier
dans ta tête
dans ton cœur
sur les pavés
de la ville où tu es arrivé

et t'as pleuré, pleuré, pleuré caché derrière ce sourire désabusé du Renard qui sait, connaît, vécu, priait, mais personne t'entendait, tout le monde s'en foutait. Dernier éclat.


Rien.
Rien.
Ne leur dites rien
S'il vous plaît.




Et derrière l'écran • Tu peux m’appeler Memento Morri. J'ai 15 ans ans et je rp depuis 4 ou 5 ans. J'ai trouvé le forum grâce à Hansel qui a visiblement décidé de me ramener partout où elle se trouve (même si j'ai surtout envie de voler dans les plumes de M.N) et je trouve que ça fait du bien de voir un forum yaoi sur lequel on fait attention au contexte #pleure de joie. J'aimerais rajouter que je remercie les admins de leur compréhension et je promet d'être sage et pas faire de bêtise qui vous feront regretter de m'avoir dit oui paske yolo.


© Halloween





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