Sujet: off with their heads! [Iracebeth de Crims] Jeu 18 Juin - 15:27
• l a r e i n e d e c o e u r •
Je me nomme Iracebeth de Crims mais on s'adresse généralement à moi autant que the Red Queen. J'ai été créé en 1865 et il semblerait que je fasse parti des créations. Je suis la création de Lewis Carol, dans Alice au pays des merveilles. Je suis apparu à Pandore il y a plus de deux ans et je n'exerce aucune profession pour l'instant ; car je viens tout juste de sortir de la prison juvénile. Je me sustente grâce à des aides sociaux, cela me permet de survivre, mais pauvrement. Pour me représenter, j'ai choisi Akashi Seijuurou de Kuroko no Basket.
• You know me, I am famous and dangerous
On dit d’Iracebeth qu'il est • despote, dominant ♥ domptable avec de la flatterie et du dévouement ♥ chaotique ♥ violent ♥ encaisse mal le tutoiement ♥ psychorigide ♥ capricieux ♥ possède un sens d’humour cruel ♥ lunatique ♥ hautain ♥ un sans-gêne, se croit tout permis ♥ coriace ♥ n’apprécie qu’on le touche ♥ curieux ♥ jaloux ♥ mauvais perdant (et gagnant) ♥ confiant, a tendance à se surestimer ♥ a toujours un faible pour les belles robes ♥ adore le rouge ♥ susceptible ♥ absurde. ♥ insomniaque, bonjour les cernes ♥
Mais au premier abord il est • Ton corps se réfléchissait dans la glace. Haut et pâle ; aux épaules droites, aux tendons bandés, aux avants bras turgescents de nervures – tu étais crispé. Le poing ferme et refermé contre un ciseau au niveau de ta hanche droite balafrée, un souvenir de ton séjour dans cette prison de fous.
Trapped in a body of a fifteen years old ; un mâle qui plus est. Ce ne fut évident de t’y habituer, tu ne l’es toujours pas quelque part. Tes muscles étaient encore secs, pas tout à fait développés, mais assez pour ne duper personne si tu portais une robe à bretelles. Peu importe, tu étais parfait, n’est-ce pas.
Ou presque – ton regard glissa sans hâte jusqu’à ton visage. Tu haussas un peu le menton de condescendance à ton propre reflet ; presque parfait, si ce n’est à cause de cette petite erreur. Une erreur de rien du tout, mais qui te faisais grincer les dents à cause du manque d’asymétrie, du manque de rouge. Le ciseau que tu tenais se porta, menaçant, jusqu’à e ton œil gauche : l’ambré. L’erreur.
Des mèches de ta couleur préférée, un œil de ta couleur préférée, et un autre œil raté pour tout gâcher. Un soupire traverse tes lèvres pincées en une grimace insatisfaite ; ton cœur percute plus fort, tu pouvais le faire, come on.
« Qu’est-ce que tu fous, Beth ?! »
Tu sursautes à la soudaine intrusion. Oh well, ta double lame allait se planter autre part finalement.
• Only fairytales have an end
Jeté, abandonné, dans le trou par lequel est tombée Alice ; il heurta la dure réalité lorsque son corps toucha terre, se salit de boue et de poussière ; s’écrasant dans un univers où il ne peut régenter au gré de ses envies versatiles. Ses désirs ne sont plus des ordres, ses envies se font désordre, et le pire : laissées irréalisés. Sa frustration déborda sans prudence du bout de ses doigts princiers, et ses phalanges maintenant égratignées. Désabusé, sa vanité offusquée, par ce monde où existe du Bleu Roi mais pas de Reine Rouge ; où les gens marchent sans égard sur sa cape de velours. Il n’est plus velours, Iracebeth, ni daim, ni soie, mais il est dur comme le cuire, pour sûr. Il se faut tenace, pour obtenir ce qu’on désir. Il se faut roi, pour protéger la reine ; il fallait se protéger. Car tu te sentais menacé, par le manque de reconnaissance en ta noble personne.
Maintenant que tu n’as plus ta couronne pour juger, tes gardes pour te protéger, et ton peuple pour te baiser les pieds. Maintenant que tu es tout seul, force est de constater que la seule manière de nourrir ton hubris, est de rapiner ce que tu veux ; aux autres. Et tu l’eus, ce que tu voulais, lorsque cet homme osa te regarder de haut – tu avais horreur de ça. Tu lui avais enfoncé ton ciseau dans ses trips, l’époumonant, le forçant à se plier en face de toi. Et cela t’avait ravi. Mais tu étais peu intelligent, Iracebeth, à te croire tout permis, à te penser tout acquis. Tu avais fini derrière des barreaux. De quoi te rendre fou de rage.
Deux ans de cela. Deux ans de solitude, ton royaume dépeuplé, ton château de cartes en ruines. La reine de cœur, enfourchée par une lame au fond de son âme, devint la reine de pique. Tu ne changeas complètement, tu t’endurcis seulement. Tu n’avais oublié, à quelle couleur tu appartenais. Maintenant que tu n’avais plus de couronne pour te réchauffer la tête, cette dernière s’était plus ou moins dégonflée. Mais ce n’est qu’un air, un mensonge. Tu te devais de le paraître, pour qu’on te libère enfin de cette prison.
Et on te libéra, enfin. Tu décidas de garder profil bas, à éviter le plus possible de piétons. Tu n’étais pas idiot, ou du moins, moins qu’avant.
Et derrière l'écran • Tu peux m’appeler Reckoner, reck. J'ai ...21 ou 22, putain je sais plus XD et je rp depuis presque une décennie. J'ai trouvé le forum grâce à un partenariat wink et je trouve qu'il pète les capotes. J'aimerais rajouter queeeee je t'aimeUUuuh que je t'aimeuuuuh que je t'aimeee