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les rumeursϟ Il paraîtrait que l'énorme bruit de la nuit dernière venait de l'hôpital ; Une machine aurait explosé dû à un dysfonctionnement et on y compterait deux victimes, médecin et patient. Si même à l'hôpital nous sommes en danger...

ϟ Perrault et Watson sont très souvent vus l'un en compagnie de l'autre, se tenant la main et rigolant ensemble. La rumeur court en ville qu'ils seraient en couple, bien que les deux démentent.

ϟ Une source proche d'Odin aurait affirmé que celui-ci aurait fumé des cèpes dans le but d'être shooté. Quelqu'un ne voudrait pas lui apprendre comment faire une fricassée aux champignons plutôt que de laisser pourrir son stock ?

ϟ Alice aurait pour projet de lancer un Sex shop portant le nom de "Rabbit Hole" et dont la source d'inspiration pour les produits vendus et l'égérie serait, naturellement, le réceptionniste bien connu de l'hôtel Abysse. Peut-être est-ce cela qu'il transporte dans ses caisses à travers la ville ?

ϟ Rimbaud aurait engagé un détective pour prendre des photos de Verlaine et les ajouter à sa collection personnelle. Il paraîtrait en effet que celui-ci a aménagé un véritable autel où il brûle de l'encens, invoquant on ne sait quelle divinité oubliée afin de ramener son amant dans son lit.

ϟ Un collègue de travail aurait surpris Smok qui écoutait du Miley Cyrus lors de l'une de ses gardes au poste. Il a bien insisté sur le fait qu'il s'agissait de la période Hannah Montana. On soupçonne donc qu'il possède des goodies en vue d'un futur tuning de Betty, sa moto...

ϟ Des papiers sont parvenus entre les mains de certains membres de la ville, des papiers qui révélent que Charles Dickens est un ancien acteur porno.

ϟ Il paraitrait qu'avant avoir rencontré Sherlock Holmes, John Watson était proctolgue. Cela expliquerait sa profonde connaissance en anatomie anale...

ϟ Claude Debussy ferait du racollage pour ouvrir un Host Club à Pandore ! Le compositeur a vraiment l'air d'aimer les jeunes hommes en jupette.



 
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 John H. Watson - I'M A BLOODY DOCTOR !

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AuteurMessage
Thug Life
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Messages : 240
Date d'inscription : 18/06/2015
MessageSujet: John H. Watson - I'M A BLOODY DOCTOR !   John H. Watson - I'M A BLOODY DOCTOR ! EmptyJeu 18 Juin - 15:25



John H. Watson

Je me nomme John Hamish Watson mais on m'appelle plus généralement Johnny. J'ai été créé en 1887 et il semblerait que je fasse parti des Créations. Je suis la création de la série des Sherlock Holmes de Arthur Conan Doyle. Je suis apparu à Pandore il y a un mois à peine et j'exerce désormais la profession de médecin. Cela me permet de vivre moyennement. Pour me représenter, j'ai choisi Dr Akari de Kaneval.


Caractère et physique • This is how I am
On dit de moi que je suis • gentil ϟ loyal ϟ fidèle ϟ doué dans mon métier ϟ plutôt calme ϟ raisonné ϟ pas assez bête qu'il n'y paraît ϟ étrangement doué en danse ϟ accro aux jeux d'argent ϟ bon tireur ϟ aimant envers les animaux  


Mais au premier abord je suis • Un grand gaillard d'un mètre soixante dix qui passe inaperçu dans la foule. Je suis commun, et même mon prénom est facilement identifiable à une majorité de la population britannique. Je suis un homme qui aime s'appuyer sur sa canne pour marcher, et cela pourrait me rendre plus petit qu'à l'accoutumée, faut-il que je l'admette. Je suis blond comme les blés, ce que ma mère à toujours apprécié, car cela lui rappelait les champs que nous dévalions main dans la main durant mon enfance. Mes yeux sont d'un bleu profond, dans lesquels se reflètent parfois les horreurs que la guère a laissé en moi, comme une cicatrice qui ne se refermera jamais, comme si l'on m'avait marqué au fer rouge. C'est un peu étrange, vous me le concéderez, mais j'aime mes mains. Je suis médecin, et, ainsi ; comprenez-moi ; il est de mon devoir d'entretenir la marque de son travail. Néanmoins, ne vous méprenez pas. La main qui soigne peut aussi être celle qui donnera la mort.
Je suis un gentleman victorien, et tout dans la manière dont je m'habille le crie. Je porte très souvent de longs pantalons cintrés à la taille, ainsi qu'un trench coat marron, qui est parfait pour les jours de vents.


Histoire • Tout conte a un début et une fin


-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-

Je pensais que jamais rien n'arriverai d'excitant dans ma vie. Je n'étais que John Watson, un vétéran de guerre rentré au pays après une vilaine blessure. J'étais cet homme défait, détruit dans l'âme, un médecin sans patient à soigner, une personne sans but dans l’existence. Pourtant, quelque chose arrivé, cette fois-ci. Un vieil ami médecin, Mike Stamford, avait apprit que j'étais rentré au pays. Ainsi, il vint me rendre visite, me faisait redécouvrir les rues de Londres, cette ville magnifique. J'avais toujours aimé flâner dans ses quartiers. Il me parla de ses amis, de ses connaissances, tout en me conduisant à son lieu de travail. Un hôpital tout à fait respectable. Il me mena ensuite au laboratoire, disant qu'il devait impérativement se changer pour ensuite aller opérer. Je le suivis de bonne grâce. J'entrais confiant dans la pièce, pour tomber face à cet être qui au premier regard, semblait tout à fait charmant. Penché devant des cultures de pétri, il écrivait sur un carnet ses conclusions, s'affairant dans tous les coins du laboratoire.

« - Je l'ai trouvé je l'ai trouvé ! J'ai trouvé un réactif qui ne peut être précipité que par l'hémoglobine ! »

Je haussais un sourcil, intrigué. Il avait une voix si profonde, si grave que c’en était hypnotisant. Il dû lire la question sur mon visage, car il s'avança pour me serrer la main avec une vigueur qui m'impressionna de première abord. Cet homme était fort, cela se sentait immédiatement. Puis il reprit :

« - Comment allez-vous ? Je vois que vous avez fait l'Afghanistan ! »
Comment diable pouvez-vous savoir ce la ?
- Ah, mais mon cher, ce n'est pas la question du jour. La question est l’hémoglobine ! Ne voyez-vous donc pas l'importance de ma découverte ? »


J'étais totalement soufflé. Je n'avais jamais rencontré cet homme de toute ma vie, et voilà qu'il semblait en connaître les moindres recoins de la mienne. C'était tout bonnement déroutant. Et bien sûr, je ne comprenais absolument pas l'importance de tout cela.

« - D'un point de vue chimique, absolument. Quant à la situation...
- Mais cher Monsieur, c'est la découverte médico-légale la plus utile qu'on ait faite depuis des années ! Ne voyez vous pas qu'elle nous permettra de déceler d'une manière infaillible les tâches de sang ? Venez par ici ! »


Il m'entraîna alors par la manche, et me montra ce qui s'étalait sur la table que j'avais aperçu en entrant. C'était un fouillis indéfinissable, mais il sembla s'y retrouver immédiatement. Lui battait des mains comme un enfant qui venait de découvrir le jouet le plus drôle du monde.

« - Voyez-vous donc cela ? »

Je ne voyais que la délicatesse de cette expérience. Il y avait des produits chimiques qui suintaient dans les quatre coins de la pièce, et tout cela me semblait fort dangereux, bien plus que cela ne semblait utile et impressionnant. Néanmoins, il se reconcentra immédiatement, et je pus presque voir ses yeux jeter des étincelles. Il aimait indéniablement ce qu'il faisait, cela fut évident au premier coup d’œil. Stamford prit alors la parole pour expliquer dans quel désarroi je me trouvais. Sans logement digne de ce nom, je me retrouvais pratiquement à la rue, moi, l'ancien médecin militaire. Immédiatement, l'homme que mon ami présenta comme être Sherlock Holmes, parût ravi.

« - J'ai l’œil sur un appartement dans Baker Street. Cela ferait très bien notre affaire. L'odeur du tabac fort ne vous incommode pas j'espère ?
- Je fume moi-même.
- Grand bien vous en fasse ! Je suis toujours entouré d'expériences plus ou moins chimiques et de produits divers et variés. Cela ne vous incommode pas non plus ?
- Absolument pas.
- Voyons quels sont mes autres défauts... Ah oui ! De temps à autre j'ai le cafard. Je reste plusieurs jours de suite sans ouvrir la bouche. Il ne faudra pas croire alors que je refuse de vous parler. Cela passera si vous me laissez tranquille. A votre tour maintenant. Qu'est-ce que vous avez à avouer ? Il vaut mieux que deux hommes qui envisagent de vivre ensemble connaissent d'avance le pire l'un de l'autre !
- J'ai un petit bouledogue. J’exècre le bruit car mes nerfs en sont ébranlés. Je me lève à des heures impossibles et je suis très paresseux. En bonne santé, j'ai bien d'autres vices, mais pour le moment ceux que je viens d'énumérer sont mes principaux défauts.
- Faites vous entrer le violon dans la catégorie des bruits fâcheux ?
- Cela dépend de l’exécuteur. Un morceau bien joué est un régal divin mais s'il l'est mal....
- Alors ça ira ! C'est une affaire faite. Si bien entendu l'appartement vous plaît.
- Quand le visiterons nous?
- Venez me prendre demain midi. Nous irons tout régler ensemble.
- C'est entendu, à midi précis. »


Je quittais les lieux le sourire au visage, me disant que finalement, des choses aussi excitantes que celle qui venait de se passer arrivaient dans ma vie. Néanmoins, avant que je ne quitte les les lieux, Stamford m'attrapa par le poignet pour  m'avertir. Holmes était certes un homme bien, mais il ne me conseillait pas de vivre avec lui. Je n'écoutais bien sûr pas sa requête, et c'est ainsi que Holmes et moi-même emménagions le lendemain dans cet appartement sur Baker Street, un endroit charmant qui était maintenant devenu ma maison. Quelques jours plus tard, il fut contacté par Scotland Yard pour une affaire des plus étrange. Un corps avait été retrouvé avec plusieurs indices, mais aucuns des limiers n'étaient capable de les comprendre. Mon colocataire saisit immédiatement cette chance de réduire son ennui à néant et accepté d'enquêter. Et jamais de ma vie je n'avais été impressionné à ce point. Cet homme ne travaillait pas comme les autres policiers, dont les méthodes se réduisaient à poser des questions sur la réputation du suspect et à l'arrêter en fonction du discours d'autrui. Non, Holmes enquêtait d'une toute autre manière. Il observait, testait, et déduisait ce que disaient les faits, et non les gens. C'est ainsi qu'il conclut que tous les indices menaient vers de fausses pistes et avaient été déposés là volontairement pour tromper Scotland Yard. Il avait prouvé rapidement l'incompétence de ces hommes et arrêté le réel suspect tout aussi vite. J'étais impressionné qu'un simple être humain puisse faire preuve d'autant d'intelligence.
-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-

Nous rencontrâmes lors de cette enquête notre plus valeureux ennemi, cette Femme qui resterait dans nos mémoires pour le restant de nos jours. La colocation que je partageais avec Holmes suivait bon train. Nous nous entendions à merveille malgré son caractère peu farouche et parfois si difficile. Je semblais être devenu une sorte de constance lui permettant de garder les pieds sur terre et de consommer le moins de drogue possible. Et cela me procurait une entière satisfaction, non seulement je pouvais librement exercer mes compétences de médecin, mais le frisson qu'apportait mon ami à ma vie était d'un goût sans pareil. Ce matin, un homme tout de peau et de poils vêtu entra dans notre appartement pour nous faire part de son histoire. Cet homme n'était rien d'autre que le Roi de Bohème, déguisé dans un accoutrement de domestique, dans l'espoir de duper Holmes.

Ce dernier cependant avait bien sûr tout comprit au premier coup d’œil, et l'homme se dévoila, démasqué. Il nous expliqué qu'une jeune femme, Irène Adler, possédait une photographie sur laquelle elle-même et le Roi apparaissait tout deux. La photographie était bien sûr compromettante, et l'homme souhaitait la restitution du papier, car la demoiselle menaçait de le faire chanter avec. Le Roi devait se marier dans peu de temps, et cette photo était un réel danger à son futur engagement. Ainsi, pour sauver son honneur, l'homme demanda à Holmes de dérober la photo.

Mon ami n'hésita pas, une fois de plus, à se jeter dans une enquête qui semblait palpitante, mais qui pourtant allait se révéler être inoubliable. Holmes quitta Baker Street à toute allure pour se rendre je ne sais où, et me donna pour consigne de le rejoindre dans la soirée avec de quoi allumer un feu. Intrigué, je suivis cependant ses recommandations et me rendit au lieu prévu plus tard cette journée là ? Il s'imposa à moi, déguisé en garçon d'écurie, pour infiltrer la maison de la demoiselle, et repartit à toute allure hurler qu'il y avait le feu. Immédiatement, je lançai mon cocktail par une des fenêtres et le brasier prit rapidement. Je ne sais ce qu'il se passa dans ce lieu, mais Holmes sembla satisfait. Néanmoins, le lendemain, il découvrit que la Femme (c'est ainsi qu'il l'appelle) avait filé avec la photo, et la promesse de ne jamais l'utiliser.

J'ai été jaloux de cette Femme. C'était une demoiselle qui avait totalement gagné le respect de mon ami par sa fourberie et son intelligence. Il croisait peu de gens capable de rivaliser avec son massif intellect, et c'est une chose dont je me souviendrai toujours, la façon dont il l'appelait encore aujourd'hui : la Femme. Comme si elle était spéciale à ses yeux.
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Lors de cette enquête que j'ai nommé « Le signe des Quatre », j'ai rencontré celle qui serait quelques années plus tard mon épouse. Une jeune femme du nom de Mary Morstan vint nous voir, Holmes et moi-même, pour régler l'un de ses problèmes. J'avoue n'avoir rien écouté, ou très peu, de son histoire, trop hypnotisé par la beauté de cette jeune femme. Elle était blonde, plutôt grande, et gouvernante à ce que j'en ai retenu. Cette enquête fut rapidement conduite par Holmes qui résolu ses meurtres et fourberies rapidement, et même si tout cela s'était soldé par un mort un trésor disparu, j'en avais néanmoins gagné une amie très chère, qu devint mon épouse.
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Au détour de nos aventures, Baskerville restera sûrement éternellement dans ma mémoire. Mary Morstan était désormais Madame Mary Watson. Cette enquête à néanmoins permis à Holmes de démontrer l'entière perception de ces capacités, démontrant que ce que l'esprit nous faisait voir n'était parfois que le fruit de notre imagination, et non pas la réalité.
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Le professeur Moriarty était un être abject, voilà ce que j'avais retenu de toute cette enquête si particulière. Les chutes de Reichenbach furent cependant un endroit dans lequel je n'avais plus jamais remis les pieds, pas après cette aventure. Holmes s'était lancé à la poursuite de son plus grand ennemi, de ce Diable qui était tout aussi intelligent que mon ami, mais qui avait décidé de tourner ses talents pour le crime. Le détective avait décidé de mettre un terme à ses fabulations, mais l'avait payé de sa propre vie, tombant avec son ennemi des Chutes, dans l'espoir de s'en débarrer. Je m'étais donc installé seul, veuf d'une grande amitié, et d'une femme disparue.
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J'étais désormais seul dans mon nouveau logement, sans plus personne pour accompagner mes jours. J'avais repris mon activité de médecin là où je pouvais être le plus utile. Pourtant, lors d'une enquête banale, je vis Scotland Yard patauger sur l'affaire. Je me joignit donc à leur rangs, désireux de mettre mes capacités de médecin en application, et regrettant vivement cette époque où Sherlock Holmes débarquait sur les scènes de crimes et résolvait tout en faisant de ma vie un vrai paradis sur Terre. Je me rappelle avoir bousculé un homme que j'ai pris la peine de remettre sur pied, et c'est ce même homme qui est parvenu devant moi sur la scène de crime. D'abord surpris, je le fus encore plus quand il me parla de l'étagère qui se trouvait derrière moi. Je me retournais donc pour la regarder, mais rien n'étais présent dessus pour faire avancer cette affaire. Mais quelle ne fut pas ma surprise, en me retournant, de découvrir mon vieil ami, Sherlock Holmes, retirer ce déguisement de vieillard, et apparaître devant mes yeux. Sous le choc, je m'en suis évanoui. Holmes m'a alors expliqué qu'il n'étais jamais tombé dans les Chutes, mais qu'il s'était rattrapé au dernier moment et s'était servi de sa prétendue mort comme d'un avantage stratégique sur le réseau de Moriarty, pour ainsi le démanteler. Résolvant l'affaire et mettant un autre criminel sous les barreaux, non seulement Londres avait retrouvé son plus fin limier, mais j'avais retrouvé mon ami, bien qu'en colère de ce silence de trois ans. Il ne m'avait pas prévenu, et s'était contenté d'un retour théâtrale à sa façon, me laissant faire mon deuil en silence.
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Cette affaire terminée, Holmes et moi avions repris notre colocation. Cela n'avait pas été aisé, au début, car même si je ne laissais rien paraître, j'étais tout de même vexé. Près de trois ans de disparition avaient laissés des marques. Alors reprendre une vie qui semblait en tout point identique à ces quelques années ne fut pas chose facile. Nous retrouvions rapidement nos marques, redevenant les deux comparses que nous étions. Certes, nos relation semblait avoir franchi un pas supplémentaire, mais je sais que lui comme moi faisions comme si cet état de fait n'existait pas. Holmes ne s'intéressait pas à ce genre de choses, et c'était trop compliqué pour ma part, pour tenter de défaire ce nœud de pensée. Tout semblait donc avoir reprit sa place, malgré ma colère silencieuse. Pourtant, un matin, Holmes n'était plus dans l'appartement. Au début, je me suis dit qu'il avait dû être appelé sur une nouvelle affaire, et je ne me suis inquiété de son absence qu'au bout de quelques jours. Il se débrouillait toujours pour me faire parvenir un mot, un message, quelque chose pour prévenir qu'il ne rentrerai pas tout de suite, et que je n'avais pas à m'inquiéter.

Je pensais qu'après les événements de Reichenbach, il aurait au moins la décence de le faire cette fois. Pourtant, ce ne fut pas le cas. Était-il en danger ? Probablement. J'ai donc parqué une valise, et suis parti faire le tour de Londres. Pourtant, personne ne semblait avoir vu mon ami détective. Cela faisait déjà un mois, et personne dans cette ville ne pouvait m'aider. Cela signifiait qu'il se trouvait ailleurs, bien plus loin que je ne pouvais l'imaginer, probablement. Alors j'ai commencé à faire le tour des villes, toutes celles que nous avions parcourus ensemble, tentant de rassembler des indices sur l'endroit dans lequel il pouvait se trouver. Ce n'est qu'au bout de six mois de dur labeur que j'ai enfin pu déterminer la localisation de mon ami. Un étranger, un homme bien étrange vêtu d'un drap sale et d'habits tout aussi délabrés, dans une ruelle sombre m'avait attiré. Il disait avoir des informations pour moi. Ravi de cette opportunité, je me suis précipité au rendez-vous, ne me rendant pas compte que tout cela n'était qu'un énorme piège destiné à ma fin. Si tôt étais-je dans cette rue que l'inconnu m'attrapa par derrière, et m’asséna un coup dans le dos qui me fit tomber de tout mon long dans la ruelle.

Tout était sombre, froid, et je pouvais presque sentir les longs doigts de la mort engourdir chaque parcelle de mon corps. Quand je me suis réveillé, quelques heures ou peut-être quelques jours plus tard, je me trouvais dans un endroit que je ne connaissais pas. La plaque, près de l'énorme portail en fer, indiquait « Pandore ». Bien. J'étais donc arrivé dans un endroit totalement inconnu. Pourtant, la première personne que je croisa ce jour-là me confirma qu'un certain Holmes faisait partit de ces habitants. Ainsi donc, mon voyage cessait ici.




Et derrière l'écran • Tu peux m’appeler Yuki. J'ai 24 ans et je rp depuis, officiellement, mes 15 ans. J'ai trouvé le forum grâce à Super-Maddie et Perraulka qui ont ramenés mes petites fesses ici et je vous aime fort fort pour ça, et je trouve que ce forum est franchement top . J'aimerais rajouter que je tape les fesses de Dicky quand j'peux. //SBAF//


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